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DDASM ALIBORI (GUPS DE MALANVILLE) : Séance de sensibilisation des élèves du CEG Garou de Malanville sur les violences sexuelles en milieu SCOLAIRE.
28 Mai 2024
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Actualités du Ministère
Le vendredi 24 Mai 2024 s’est tenue aux environs de 10h30 dans le Collège d’Enseignement Général (CEG) de Garou dans la commune de Malanville, la séance de sensibilisation sur les violences sexuelles en milieu scolaire. Animé par un panel de quatre (04) personnes ressources dont le C/GUPS de Malanville, le Point Focal Protection et VBG du Commissariat d’Arrondissement de Garou, l’Animatrice de l’ONG SIA NSON et du Directeur dudit collège, la séance a connu la participation de 58 élèves dont 22 filles et 36 garçons. Ces derniers ont été identifiés dans les différentes classes de la 6e jusqu’en 3e. Ils ont reçu le mandat de restituer ladite séance à leurs pairs dans chacune de leur classe respective.
Organisé par le GUPS de Malanville, la séance vise à améliorer le niveau de connaissance des élèves sur les violences sexuelles d’une part et à encourager la dénonciation des cas de violence sur les filles d’autre part.
Les échanges se sont déroulés selon une approche participative et en fonction des différentes séquences à savoir :
- la clarification des concepts tels que les Violences faites aux femmes et aux filles, les VBG ;
- quelques statistiques du SIDoFFE-NG illustrant l’ampleur des violences et la nécessité de les combattre ;
- les causes, les manifestions et les conséquences des violences sexuelles sans occulter les exemples de violences sexuelles ;
- les voies de recours et enfin les sanctions encourues par les auteurs.
Durant les échanges, l’accent a été mis sur la nécessité de briser le silence et de dénoncer toutes les violences dont sont victimes des élèves aussi bien en milieu scolaire qu’en milieu communautaire à travers les numéros verts dont le 138 (Ligne d’Assistance aux Enfants) et le 166 (police). Ces numéros verts garantissent l’anonymat sur le dénonciateur. Une démonstration sur l’opérationnalisation de la LAE a été faite par le Chef GUPS. Cela pour confirmer que l’appel est gratuit et fonctionne bien. L’agent de la LAE en ligne a profité pour donner quelques conseils sur la bonne utilisation de la ligne.
Par ailleurs, Le numéro de téléphone de l’Institut National de la Femme (INF) a été également donné aux élèves avec un focus sur le rôle de cette institution dans la lutte contre les violences faites aux femmes au Bénin.
Pour ce qui est des sanctions encourues par les auteurs des violences, il est revenu au Point focal protection/VBG du commissariat de police de Garou, d’aborder quelques infractions à raison du sexe et protection de la femme en République du Bénin et les peines qui y sont associées.
L’animatrice de l’ONG SIA N’SON et le C/GUPS ont passé en revue les conséquences des violences sexuelles en milieu scolaire en mettant un accent particulier sur les grossesses précoces et non désirées, les décrochages scolaires, les avortements clandestins, les IST/Vih. A ce niveau, le panel de facilitateurs a donné des conseils aux élèves et insister sur les bons comportements à adopter pour la réussite scolaire.
C’est sur une note de satisfaction générale et un appel à davantage appuyer les collèges dans la poursuite de pareille sensibilisation que le Directeur du CEG Garou a déclaré close vers 12h15, la séance de sensibilisation sur les violences sexuelles en milieu scolaire.
Organisé par le GUPS de Malanville, la séance vise à améliorer le niveau de connaissance des élèves sur les violences sexuelles d’une part et à encourager la dénonciation des cas de violence sur les filles d’autre part.
Les échanges se sont déroulés selon une approche participative et en fonction des différentes séquences à savoir :
- la clarification des concepts tels que les Violences faites aux femmes et aux filles, les VBG ;
- quelques statistiques du SIDoFFE-NG illustrant l’ampleur des violences et la nécessité de les combattre ;
- les causes, les manifestions et les conséquences des violences sexuelles sans occulter les exemples de violences sexuelles ;
- les voies de recours et enfin les sanctions encourues par les auteurs.
Durant les échanges, l’accent a été mis sur la nécessité de briser le silence et de dénoncer toutes les violences dont sont victimes des élèves aussi bien en milieu scolaire qu’en milieu communautaire à travers les numéros verts dont le 138 (Ligne d’Assistance aux Enfants) et le 166 (police). Ces numéros verts garantissent l’anonymat sur le dénonciateur. Une démonstration sur l’opérationnalisation de la LAE a été faite par le Chef GUPS. Cela pour confirmer que l’appel est gratuit et fonctionne bien. L’agent de la LAE en ligne a profité pour donner quelques conseils sur la bonne utilisation de la ligne.
Par ailleurs, Le numéro de téléphone de l’Institut National de la Femme (INF) a été également donné aux élèves avec un focus sur le rôle de cette institution dans la lutte contre les violences faites aux femmes au Bénin.
Pour ce qui est des sanctions encourues par les auteurs des violences, il est revenu au Point focal protection/VBG du commissariat de police de Garou, d’aborder quelques infractions à raison du sexe et protection de la femme en République du Bénin et les peines qui y sont associées.
L’animatrice de l’ONG SIA N’SON et le C/GUPS ont passé en revue les conséquences des violences sexuelles en milieu scolaire en mettant un accent particulier sur les grossesses précoces et non désirées, les décrochages scolaires, les avortements clandestins, les IST/Vih. A ce niveau, le panel de facilitateurs a donné des conseils aux élèves et insister sur les bons comportements à adopter pour la réussite scolaire.
C’est sur une note de satisfaction générale et un appel à davantage appuyer les collèges dans la poursuite de pareille sensibilisation que le Directeur du CEG Garou a déclaré close vers 12h15, la séance de sensibilisation sur les violences sexuelles en milieu scolaire.
